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Quelles sont les exigences d’éclairage pour l’éclairage de secours ?

Adrienne Martinez
Adrienne Martinez
2025-07-09 02:06:39
Nombre de réponses : 2
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Si l'éclairage de sécurité est réalisé par blocs autonomes, il est complété par un éclairage réalisé par des blocs autonomes d'éclairage de sécurité pour bâtiments d'habitation d'une durée assignée de fonctionnement de 5 heures. Si l'éclairage de sécurité est constitué par une source centralisée constituée d'une batterie d'accumulateurs, la capacité de cette dernière doit permettre une autonomie de six heures au moins. Un BAES d’évacuation a une autonomie d’1 heure et un flux lumineux de 45 lm. Un BAES d’ambiance a une autonomie d’1 heure et un flux lumineux généralement supérieur à 300 lm. Un BAEH a une autonomie de 5 heures et un flux lumineux de 8 lm. L’éclairage de sécurité est limité à la fonction d’évacuation avec une nappe haute et une nappe basse. Les foyers lumineux de la nappe basse balisant les circulations piétonnes sont placés au maximum à 50 cm du sol ou encastrés ou fixés au sol. Les habitations dont le plancher bas du logement le plus haut est à plus de 28 m et à moins de 50 m au-dessus du sol accessible aux engins de secours incendie doivent être équipées d’éclairage de sécurité conforme à la norme NF. Les habitations de la famille 4 doivent avoir des blocs autonomes d’éclairage de sécurité dans les escaliers. Des BAES de type DBR permettent d’orienter les personnes à mobilité réduite vers les espaces d’attente sécurisé. Ainsi, en l’absence de l'alimentation normale et, contrairement à un BAES traditionnel qui éclaire de manière fixe la signalisation d’évacuation, le DBR clignotera de manière à identifier précisément les espaces d’attente sécurisés.
François Martinez
François Martinez
2025-06-28 01:21:25
Nombre de réponses : 1
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Les lieux de travail où les travailleurs sont exposés à un risque accru en cas de panne de l'éclairage artificiel, sont équipés d'un éclairage qui contribue à la sécurité des personnes occupées à une activité potentiellement dangereuse ou se trouvant dans une situation potentiellement dangereuse, et qui leur permet d'exécuter une procédure d'arrêt adéquate pour la sécurité de l'opérateur et des autres personnes présentes dans le bâtiment. La puissance de cet éclairage ne peut pas être inférieure à 10% de la puissance d'éclairage normale pour la tâche concernée. L'éclairage de secours doit permettre aux travailleurs d'évacuer les locaux en toute sécurité en cas de panne de l'éclairage artificiel. L'employeur détermine, sur la base des résultats d’une analyse des risques, à quelles conditions l’éclairage des lieux de travail, à l'air libre ou non, ainsi que des postes de travail doit répondre afin d'éviter des accidents par la présence d'objets ou d'obstacles ainsi que la fatigue des yeux.
Odette Sauvage
Odette Sauvage
2025-06-27 23:46:55
Nombre de réponses : 2
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L’éclairage de sécurité doit être mis à l’état de veille pendant les périodes d’exploitation. L’exploitant doit s’assurer périodiquement : une fois par mois : - du passage à la position de fonctionnement en cas de défaillance de l’alimentation normale et à la vérification de l’allumage de toutes les lampes. une fois tous les six mois : de l’autonomie d’au moins 1 heure. Dans les établissements comportant des périodes de fermeture, ces opérations doivent être effectuées de telle manière qu’au début de chaque période d’ouverture au public, l’installation d’éclairage ait retrouvé l’autonomie prescrite. L’entretien des blocs autonomes doit être réalisé dès qu’une anomalie est constatée. La norme NF C 71-830 d’août 2003 définit les règles applicables pour la maintenance des BAES et BAEH : - la maintenance mensuelle et semestrielle effectuée par l’exploitant. - la maintenance annuelle effectuée par une personne qualifiée. - la récupération des composants interchangeables (accumulateurs, tubes fluorescents, etc.).